Procès de Jacques Chirac : "La justice ne pouvait trancher autrement. Dura lex, sed lex."
Jeudi 15 décembre, François Bayrou a estimé que la "justice ne pouvait trancher autrement" à propos de la condamnation de l'ancien chef de l'Etat Jacques Chirac, ajoutant "Dura lex, sed lex".
"Le jugement de Jacques Chirac intervient bien tard après les faits, en raison du statut contestable qui couvre en France le président de la République et aussi de nombreuses manoeuvres de retardement", a d'abord introduit le candidat à la présidence de la République.
"Mais dans un Etat de droit, la justice doit être indépendante et la même pour tous. Saisie de graves manquements, après avoir prononcé d'autres condamnations, elle ne pouvait trancher autrement. La loi est dure mais c'est la loi", a souligné François Bayrou, reprenant l'adage latin "dura lex, sed lex".