Un moment crucial pour la France, pour l’Europe, et pour le monde

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Dans sa lettre d’information mensuelle, Marielle de Sarnez souligne l’enjeu fondamental de cette élection présidentielle pour l’avenir de l’Europe. Elle rappelle que "notre pays a été à l’origine de la construction européenne" et réaffirme son soutien à Emmanuel Macron, "le seul à s’engager résolument pour l’approfondissement, et la démocratisation de l’Europe".

(La lettre d'information d'avril est à retrouver via ce lien)

Jamais élection présidentielle sous la Vème République n’aura été aussi cruciale pour l’avenir de notre pays d’abord, mais aussi, parce que tout est lié, pour celui de l’Europe, et pour celui du monde.

C’est pourquoi cette échéance est scrutée avec une grande attention par tous nos voisins et partenaires européens qui savent bien que, selon les orientations qui seront prises, dimanche 23 avril, et dimanche 7 mai, l’avenir de l’Europe ne sera pas le même, et par conséquent l’équilibre du monde ne sera pas le même.

C’est donc un choix historique que s’apprête à faire la France.

Notre pays a été à l’origine de la construction européenne. Sa position politique autant que son poids économique en font un pilier de notre Europe. Que ce pilier s’effondre et tout l’édifice se trouvera durablement menacé, et l’avenir de l’Europe gravement compromis.

Raison pour laquelle, les correspondants de presse étrangers ont été saisis d’inquiétude et d’effarement, quand ils ont constaté que, sur onze candidats à l’élection présidentielle française, dix s’étaient à un moment ou un autre, voire tout au long de leur carrière politique, opposés au projet européen !

Il y a d’abord les candidats de la rupture avec l’Europe. Les postures dirigistes et souverainistes de Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon constituent une véritable insulte à l’histoire de France qui a tant apporté à celle de l’Europe, dont nombre de pays portent notre empreinte. Cette quête identitaire pour l’une, ce repli idéologique pour l’autre, ne sont que les deux faces d’un nationalisme français d’un autre âge. Nul doute que si l’un ou l’autre venait au pouvoir, le coup serait fatal pour la poursuite du projet européen et la France porterait la responsabilité historique d’une probable dissolution de l’UE.

Il y a ensuite le candidat qui défend le statu quo, un immobilisme qui est en réalité une régression. François Fillon s’était ainsi prononcé contre l’euro en votant « non » au Traité de Maastricht. Il propose aujourd’hui de confier la gestion de la monnaie européenne à un secrétariat rattaché au Conseil européen. Remettre le destin de la zone euro dans les mains de quelques experts inter-gouvernementaux, serait évidemment une grave erreur. Ce serait la porte ouverte à tous les arrangements opaques, passés dans le dos des peuples, et ce, au moment même où l’Europe a un urgent besoin de démocratie. Ce serait aussi la certitude que désormais aucune avancée politique majeure ne serait plus possible, et ce, au moment même où la zone euro a un urgent besoin d’intégration politique.

Dans un monde où les menaces se font de plus en plus lourdes, Emmanuel Macron est le seul à annoncer le réveil européen. Face à la tentation europhobe ou eurosceptique, il est le seul à s’engager résolument pour l’approfondissement, et la démocratisation de l’Europe. Au moment où le monde est déstabilisé, confronté aux menaces, et où tous les repères sont fragilisés, jusqu’au système d’alliance transatlantique et alors même que la Russie tente de s’imposer à nouveau comme super-puissance, il est le seul à proposer la France forte, et l’Europe forte dont le monde a besoin.

 

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