Elias Benjamin Ouharzoune, un jeune démocrate combatif, déterminé et fondamentalement optimiste face à la crise

Il a passé une grande partie de sa vie à sillonner la France au rythme de sa passion pour le football. C’est à travers l’inspiration de son père qu’Elias a commencé sa carrière. Parti du pôle espoir à Dijon où il a exercé deux ans, il a par la suite signé à l’AS Nancy Lorraine et y est resté 3 ans, le temps, notamment, de faire ses années lycée. Il aime à rappeler, pour l’anecdote, qu’il y a côtoyé le joueur Clément Lenglet, devenu depuis défenseur au FC Barcelone. Par la suite, Elias rejoint le Football Club de Martigues et intègre la faculté de droit d’Aix-en-Provence. Études qu’il abandonnera par la suite en raison d’un rythme trop contraignant. Par la suite, il décide de rejoindre la capitale pour trouver rapidement un travail. Son premier emploi en tant que vendeur est synonyme de déception. C’est dans une brasserie parisienne qu’Elias trouve finalement son bonheur et s’épanouit depuis maintenant 5 ans, en tant que manager. Au travers d’une volonté intarissable, Elias illustre cette jeunesse qui se bat et attend avec une patience exemplaire de pouvoir reprendre le cours de sa vie. 

D’origine algérienne, plus précisément kabyle, Elias a vécu dans un quartier difficile de Besançon dont il a gardé un très bon souvenir, bien qu’il regrette amèrement la dégradation de celui-ci aujourd’hui. Ce fier franc-comtois connaît bien sa ville natale et sa région, décrivant avec passion son authenticité au travers de la pierre bleue, pierre de Chailluz, des monuments bisontins.

Besançon est une ville marquée par plus de 2000 ans d’histoire, entre vestiges romains et bâtisses du Saint-Empire romain germanique et même espagnol. 

Établi à Paris, Elias revient dès que possible dans la Ville d’or qui, par sa richesse patrimoniale, culturelle, historique et architecturale, ne cesse d’évoluer avec son temps. Mais la Franche-Comté, c’est aussi ses habitants, francs et chaleureux, auxquels Elias s’identifie parfaitement. Il apprécie particulièrement la quiétude qui émane d’un environnement où se succèdent collines et rivières. Un petit paradis dans le Centre-Est français. 

L’engagement politique d’Elias naît de son soutien à Éric Alauzet, actuel député du Doubs. Mais c’est sa rencontre avec Laurent Croizier, conseiller municipal de Besançon et président du Mouvement Démocrate du Doubs, qui va tout changer pour lui. Au travers de cette relation pleine de sincérité et de sympathie, Elias se rapproche d’Auguste Ott, président des Jeunes Démocrates. Il s’est toujours senti centriste et a rapidement adhéré aux idées humanistes défendues par le Mouvement Démocrate :

Il faut protéger l’Europe, mais également construire et penser une Europe qui ne néglige pas ses territoires, mais au contraire qui les valorise. 

C’est tout naturellement qu’Elias a intégré les Jeunes Démocrates et s’emploie chaque week-end à aller au plus près des jeunes francs-comtois mais aussi bourguignons dans la rue pour engager le dialogue avec eux. L’une de ses actions menées a d’ailleurs été la création d’une boucle en amont pour recenser l’ensemble des Jeunes Démocrates de la grande région et créer du lien entre eux. Pour Elias, il est important d’aller à la rencontre des jeunes car nombreux sont ceux à être politisés et influencés par des syndicats trop peu modérés. 

Mais il est aussi clé de répondre à la crise démocratique : de nombreux jeunes expriment un désamour profond pour le monde politique.

Nombreux sont les jeunes qui rejettent la politique, notamment dans les grands campus, où ils ont tendance à radicaliser leur pensée. C’est pourquoi il est indispensable de renouer le dialogue avec eux et d’investir dans la communication et la visibilité afin de proposer une nouvelle voie.

Être partout. C’est le maître mot. Aller sur le service de streaming vidéo Twitch en développant des projets d’aménagement du territoire au travers de photos en posant la question « Qu’en pensez-vous ? ». Développer la concertation avec les citoyens, habitants, démocrates. Axer sur des choses concrètes, ne pas aller sur du général. Multiplier les formats. Telles sont les idées d’Elias, illustrant son dynamisme et sa détermination.

La politique doit s’adapter à la jeunesse pour ne pas la perdre.   

Optimiste, il entend aller au bout de ses rêves, qu’importe la crise.