Portrait MoDem : Antoine Bouret, délégué des Jeunes Démocrates en Loire-Atlantique !

Découvrez le portrait d'Antoine Bouret, un jeune ingénieur engagé !
Une incarnation de l'action citoyenne
À 21 ans, Antoine Bouret incarne une jeunesse française qui refuse la passivité citoyenne. Délégué départemental des Jeunes Démocrates de Loire-Atlantique, il conjugue avec aisance son parcours d'excellence académique et son engagement politique précoce.
Originaire de Sainte-Luce-sur-Loire, aux portes de Nantes, ce brillant étudiant en dernière année à l'École Centrale de Marseille poursuit un double diplôme en ingénierie financière à l'Université d'Aix-Marseille. Un profil technique qui détonne dans le paysage politique traditionnel.
Son engagement au MoDem, initié il y a trois ans, s'est forgé après une période d'attente imposée par la rigueur de ses classes préparatoires scientifiques. « J'ai toujours été passionné par la politique, mais j'ai dû attendre la fin de ma classe préparatoire afin de trouver du temps pour m'engager », confie-t-il.
L'aspiration qui l'anime est profondément liée à une vision active de la citoyenneté :
Ce qui m'a poussé à m'engager c'est avant tout l'envie d'être utile pour mon pays et pour l'Europe ainsi que le sentiment que c'était pour moi la meilleure façon de vraiment être acteur de notre société.
De ce fait, Antoine rejette la critique passive. « J'aime l'action, et je préfère faire avancer nos idées, prôner les valeurs importantes pour nous par des actions concrètes plutôt que de pointer du doigt ce qui me déplaît depuis mon canapé », déclare-t-il avec conviction dans un environnement politique devenu propice au simplisme et à la démagogie.
Être pragmatique dans l'action publique
Ce parcours atypique lui permet d'aborder les problématiques sociétales avec une approche singulière. Pour lui, « travailler à l'élaboration de solutions pour répondre à des problématiques réelles est très stimulant » car il « retrouve ici [son] côté ingénieur. »
Son investissement politique a modifié sa perception du monde institutionnel, brisant certains stéréotypes collés à la classe politique.
Mon engagement au MoDem a changé la vision que je pouvais avoir de nos élus. En effet j'ai pu voir que les députés comme les élus locaux ont des convictions très fortes et sont durablement engagés auprès de leurs territoires et que les heures ne sont jamais comptées.
Dans un environnement familial éloigné des sphères politiques, Antoine représente cette nouvelle génération qui se fraye un chemin vers l'engagement civique. « Au sein de ma famille il n'y a personne d'engagé politiquement. Je n'avais pas non plus beaucoup d'amis engagés en politique », révèle-t-il. Une démarche qu'il estime trop rare chez ses pairs en dressant le constat que l'engagement politique souffre d'un manque d'attractivité envers les jeunes générations : « la jeunesse a beaucoup d'énergie à donner et s'engage : de nombreux jeunes sont engagés dans des associations, font de l'humanitaire, du sport ou du soutien scolaire... mais finalement assez peu se tournent vers la politique. »
Son implication politique se concentre particulièrement sur trois axes majeurs et déterminants.
Les sujets sur lesquels je suis le plus engagé sont certainement les questions de sécurité, de compétitivité économique ainsi que d'éducation.
Pilote de la commission « Sécurité et Tranquillité Publique » du MoDem 44, il prépare activement les élections municipales de 2026. L'éducation lui tient particulièrement à cœur, celui qui « [croit] que la méritocratie est un fondement essentiel de notre République. C'est pour cela que je suis très attentif aux questions d'égalité des chances et d'égalité dans l'accès à l'éducation. »
Une vision européenne forte
La cause européenne résonne également avec force dans son discours. « Je crois fermement en une Europe beaucoup plus unie et donc beaucoup plus forte », affirme-t-il, avant d'ajouter que « l'Europe a tout pour devenir une grande puissance mondiale, mais c'est à nous de jouer. »
Parmi les personnalités qui l'ont marqué figure Sarah El Haïry, vice-présidente du MoDem et fraîchement nommée Haute-Commissaire à l'Enfance, expliquant avoir « découvert une femme de convictions qui porte ses sujets avec énergie et qui donne énormément aux autres en étant toujours accessible. Son engagement sur les sujets de jeunesse est vraiment inspirant. »
De plus, la guerre en Ukraine qui fait rage depuis plus de 3 ans l'a profondément touché. « Cette guerre engendre des souffrances humaines terribles, et le courage de la résistance ukrainienne force le respect. » Un conflit qui renforce sa conviction d'une nécessaire autonomie stratégique européenne :
Face à la renonciation américaine à l'heure de défendre la démocratie, c'est à l'Europe de prendre cette responsabilité. L'Europe se doit d'être autonome et de ne dépendre de personne pour assurer sa sécurité, et défendre les valeurs démocratiques qui font son identité.
En recentrant la focale sur la politique intérieure, Antoine Bouret pose un regard lucide sur l'évolution de la sphère politique, déplorant « la nouvelle montée du populisme venu des différents extrêmes qui, pour moi, nivelle le débat vers le bas. » Sa vision de l'avenir reste cependant résolument constructive, appelant à « un débat apaisé et argumenté prônant des valeurs républicaines et démocrates. »
Et il vous invite à l'action :
Si certains lecteurs ne sont pas encore engagés, sachez que les portes des Jeunes Démocrates sont ouvertes !
Pour les cinq prochaines années, il imagine son engagement toujours aussi intense espérant « que dans 5 ans, de nombreux projets dont nous parlons aujourd'hui auront vu le jour ! Mais dans tous les cas, je pense que dans 5 ans mon engagement sera toujours aussi fort », conclut-il, animé par cette volonté constante de « participer à la réflexion collective permettant de proposer des solutions. »