Une économie française préservée et ambitieuse depuis 2017
Entre le début du quinquennat d’Emmanuel Macron et 2022, de profonds changements ont été engagés afin de renforcer notre économie. En 2020, la crise du Covid est venue perturber la dynamique sur laquelle avançait la France. Résilience, relance, protection, Jean-Noël Barrot, Secrétaire général du MoDem et deputé des Yvelines, revient sur le bilan économique du quinquennat.
Des indicateurs positifs
La France est le moteur économique de l’Union européenne avec près de 7% de croissance sur l’année 2021, un chiffre inédit en 52 ans.
La baisse du chômage est de l’ordre de 5,9% au dernier trimestre 2021. Cela représente 208.500 inscrits en moins sur un total de 3,3 millions de personnes. Ce sont les meilleurs résultats depuis 15 ans.
Enfin, depuis la mi-2017, le PIB a grimpé de 4,6% et le pouvoir d'achat des ménages de près de 7 %. La France est désormais à la 1ère place européenne en termes d’accueil de projets d’investissements étrangers.
L’économie française est repartie grâce à des décisions qui ont eu un impact. Jean-Noël Barrot, vice-président de la Commission des finances, explique ce renforcement du tissu économique en 4 axes.
Les raisons de la bonne santé économique
1. Baisse des impôts
La baisse des impôts efface près de 10 ans de pression fiscale dans le pays. Dont font partie la suppression de la taxe d’habitation, la baisse de l’impôt sur le revenu ainsi que des cotisations qui pèsent sur le travail et la création du prélèvement forfaitaire unique.
Les entreprises, également, bénéficient d’une baisse de l’impôt sur les sociétés et de la baisse des impôts de production.
Ces mesures prises par Emmanuel Macron ont permis d’arriver à un niveau d’imposition qui n’était plus aussi bas depuis 2010.
2. Revalorisation du travail
Durant le quinquennat, le gouvernement s’est attelé à une profonde revalorisation du travail avec des mesures importantes comme, pour commencer, la « prime Macron » qui profite à près de 4 millions de salariés qui ont touché en moyenne 506 euros sur la dernière année : «Ce sont presque 4 millions de salariés qui en 2021 ont profité du versement d'une prime exceptionnelle de pouvoir d'achat par les entreprises sur la base du volontariat, d'un montant minimum de 500 euros, et là aussi c'est du pouvoir d'achat en plus» a déclaré le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt lors de la séance de Questions au gouvernement à l'Assemblée nationale du 1er février 2022.
La mise en œuvre pleine et entière de la réforme de l’assurance chômage intervient dans un contexte de vive reprise économique qui se traduit par un volume inédit d’embauches. Elle vise à inciter tous les demandeurs d’emploi qui le peuvent à travailler davantage, en faisant en sorte que le travail soit toujours plus rémunérateur que les périodes sans emploi.
Enfin, le président de la République a mis au cœur de son action la formation professionnelle et l’apprentissage. Le succès de l'apprentissage est réel : 700 000 contrats signés en 2021, suite à la réforme de 2018. C’est, selon les mots du président, « l'archétype de ce que nous devons faire, un hommage à "la France humble, silencieuse, au travail", "cette France silencieuse qu'on entend si peu car elle se lève tôt pour travailler".
3. Le « quoi qu’il en coûte »
Au début de l’année 2020, lorsque survient le covid-19, la décision du « quoi qu’il en coûte » est prise. Pour tenir le choc de la crise et éviter le chômage de masse, la solidarité nationale se met en action avec le dispositif de chômage partiel qui a permis de soutenir 13 millions de travailleurs, le fonds de solidarité qui a indemnisé 2 millions d’entreprises menacées de faillites, les prêts garantis par l’État qui ont été octroyés à près de 700 000 entreprises ou encore les exonérations de charges qui devraient atteindre un total de 10 milliards d’euros.
4. Plan de relance
100 milliards d’euros investis, 70 mesures pour relancer l’activité économique, sauver les emplois, recréer ceux qui ont été victimes de la crise et préparer l’avenir à l’horizon 2030. 3 priorités : transition écologique, compétitivité des entreprises et la cohésion sociale et territoriale. Ce plan est la traduction de l’ambition portée par le président de la République d’investir dans les domaines les plus porteurs et de générer les emplois du futur.
Le président de la République, le gouvernement et la majorité présidentielle ont œuvré pendant cinq ans à préserver l’économie française, à la renforcer et construire une vision stratégique sur le long-terme.
Penser le futur de notre économie, des emplois de demain et de la compétitivité des entreprises sont des impératifs qui ne cessent d’être au cœur de nos projets.